Comme j’ai l’habitude de voir des animaux empaillés dans les vieilles maisons, ça ne m’efrraie pas du tout au contraire. En tout cas ça a bien changé par ici!! Je vais te mettre dans mes favoris. Hasta Luego!

Les prix n’apparaissent pas … pour ne pas faire fuir la Gazelle … (l’antilope?)
Dans le fond, la photographe se trahit ;)

Je trouve ça vraiment de mauvais goût. :-(

@ czara et Topper : je suis d’accord avec vous, la vitrine n’est pas de très bon goût, mais fait réfléchir…

@ Eudoxie : salut et merci pour la (re) visite ! A très bientôt… je suis contente que la nouvelle version du blog te plaise. :)

@ Pierre : bien vu… encore une photo où je me trahis. ;)

Coucou SurfAnna,

je partage ton point de vue sur les animaux empaillés, c’est assez malsain, voire morbide.

On ne sait jamais si le commanditaire a demandé qu’on tue l’animal pour l’empailler, ou s’il a été tué lors d’une chasse et qu’on a décidé ensuite de récupérer sa peau pour le « taxidermiser ».

Quoi qu’il en soit; cette bête a été tuée délibérément. Pour un lapin, passe encore (personne ne crache sur un bon civet de lièvre), mais pour l’antilope ça devient déjà plus scabreux.

Sans être une espèce menacée, c’est un animal de taille respectable et de caractère pacifique.

De surcroît, on se demande si ces sacs à main qu’elle porte autour du cou sont en peau d’antilope.

Dans tous les cas, on peut être sûres qu’ils coûtent la peau… des fesses :-)

C’est pas tellement les animaux empaillés qui me déplaisent (même si je suis d’accord : c’est vraiment bas de tuer pour empailler), mais plutôt la façon dont la mise en scène a été faite dans cette vitrine : affubler cette bête morte d’attributs humains bling bling, c’est quand même gênant. Comme si on lui disait : tu es plus belle avec des bijoux et des sacs à mains ! Comme on le dit aux lectrices des magazines féminins, en somme… :-S Et elle ne peut pas se défendre !!! enfin bon.
Cela dit, l’antilope se mange sûrement dans d’autres contrées, donc on en revient à un civet de lapin… ;-)